Ce n’est un secret pour personne, je ne suis pas fou de la messe. En effet, je ne suis pas trop fou de la messe. Sauf les grandes œuvres musicales. D’ailleurs, j’en ai quelques-unes en disque 33 tours ou en CD comme la Messe pour le temps présent (Pierre Henry, la Messe de Ste Cécile (Gounod), la Messe pour la Paix (George Zamfir), Missa criolla et d’autres. J’aime beaucoup le Te Deum de Charpentier et le Requiem de Mozart mais tout ça, c’est juste pour dire que je ne suis vraiment pas fou de la messe en tant qu’office religieux avec tout le tintouin. Même s’il ne faut pas feindre l’amour du Christ. Et ça fait bien longtemps que je ne suis pas entré dans une église pour y assister à une cérémonie quelconque. Et puis, le Pape, je ne suis pas fan. D’autant qu’il voit d’un mauvais œil les clans dans les groupes de cardinaux.
Mais je ne vais pas forcément me moquer de celles et ceux qui en sont fous et folles de la messe. Ce n’est juste pas mon truc. Et ça fait bien longtemps, croyez-moi. Et non pas « croyez-en moi » et pour en revenir aux papes, je me souviens très bien de Jean-Paul, le pape hautain. Et je n’oublie pas que les premiers chrétiens ont montré leur calvaire à l’unisson. Il n’empêche que moi, ceux qui font prêchi-prêcha mais font l’inverse de qu’ils prônent ou interdisent, vous savez ce que j’en pense. Et je ne suis pas du genre à souhaiter de bonnes fêtes de Pâques. Et je n’aime pas l’idée de la confession avec un doigt pointé sur celles et ceux qui viennent se confier. Je préfère quand le confesseur s’endort. Ça permet au confessé de ne pas trop culpabiliser. Et puis, pourquoi ne pas parler directement à Dieu ?
C’est un peu ce que font ou peuvent faire les protestants, d’ailleurs. Cela dit, dans ce troisième paragraphe, je ne suis toujours pas fou de la messe. Et je n’irai donc pas ce matin. Pas plus que les dimanches précédents et encore moins pour tous les suivants. Et si je vois un prêtre tomber dans la rue, en bon chrétien, je m’assurerai qu’il va bien avant de lui dire : vous vous êtes payé une belle chute, mon père. Bon, ce n’est pas tout ça, mais moi, je vais aller prendre ma douche. Si je vous dis que les populations du Cap ont mis les échecs en valeur ou encore que ce cas de Corée me turlupine, est-ce que l’idée maîtresse de ce billet dominical vous saute enfin aux yeux ? Ouiiii ! C’est un texte spécial religion sous forme de contrepets. Car le contrepet du dimanche, c’est encore meilleur que celui des jours de la semaine.
P.S. les avez-vous retrouvés, les 10 contrepèteries disséminées dans ce billet de haute-volée ?
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