vendredi 21 juin 2024

barres parallèles (coffre de moi, coffre de toi)

Ça y est, nous sommes de nouveau à  Biscarrosse, depuis hier. Nous sommes partis tous les six, les deux chiens, maman, le patron, le président et moi. Et heureusement, nous n’avions pas un passager de plus car même dans ma nouvelle belle automobile, ça n’aurait peut-être pas été possible. Bien que nous l’avons déjà fait l’an passé, quand Pauline était venue passer le séjour avec nous. Mais là, comme nous sommes partis pour une semaine, tout le monde s’est un peu lâché en termes de bagages. Alors qu’en temps normal, on est un peu limités car comme les chiens voyagent dans le coffre arrière, ça nous rétrécit énormément la place pour nos propres sacs et petites valises. Quand maman n’est pas là, le siège arrière de droite est destiné à tous les bagages mais là, il était occupé par maman.

Alors, j’ai décidé d’acheter un coffre de toit mais un coffre à moi, pas un coffre à toi. C’est donc mon coffre, pas le tien. Ni le sien. C’est le mien, adapté à ma voiture. Et c’est moi qui l’ai choisi et qui ai attendu pendant qu’on me l’installait. Et pendant qu’on ne m’a pas expliqué comment enlever le coffre du toit quand je vais dans mon garage (je ne passe pas le portail en hauteur, avec), c’est avec mon frère Jean-Yves à Saint-Maixent, lundi dernier que j’ai appris comment enlever les barres parallèles et comment les remettre. Sauf que je n’avais pas bien retenu à quel endroit précis du toit il fallait les poser et avant-hier, avec un jeune qui n’est pas un foudre de guerre, on les a mises un peu n’importe comment. Mais tout ça, c’était sans compter que le mari de Teresa, Joao, il était sur Bordeaux, hier.

Et après le déjeuner, avant notre départ pour Biscarrosse, il m’a montré que j’avais des marques pour mettre mes barres parallèles. On les a donc mises à leur vraie place et on a hissé le coffre dessus, on l’a fixé et on l’a chargé. Et moi qui pensais qu’on ne pourrait pas tout mettre dedans, que n’ai-je été agréablement surpris. Tout est rentré. Dans le coffre de moi. Qui est aussi le coffre de toit mais pas le coffre de toi. Et même les cadeaux pour le président car aujourd’hui, c’est son anniversaire. Mais nous n’avons pas prévu de lui offrir un coffre de lui, à lui. Ni même un coffre de nous. Et encore moins, un coffre d’eux. Mais un coffre de toit, oui. Sauf qu’il est à moi. Et surtout pas à toi. Ça y est, c’est bon, tout le monde a compris, on peut commencer à penser au billet de demain. À deux mains ?

https://cestecritbysibal33.blogspot.com/

http://sibal33.canalblog.com/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

troisième 17 septembre en trois ans

Depuis le 1 er janvier 2022, chaque jour, je remplis un livre, une éphéméride avec des lignes vierges et je réponds à des questions. Quand ...