vendredi 28 novembre 2025

eu coloquei papel de parede em português

Hier, j’ai posé du papier peint en portugais. Bon, d’accord, je suis un peu dans la formule, là, ce matin. En réalité, j’ai été petite main pour aider un avocat portugais à poser un peu de papier peint dans un couloir. Oui, oui, un avocat portugais. Et dans un couloir. Seulement dans un couloir. C’était vraiment pour aider parce que je n’avais jamais fait ça auparavant. Ce qui prouve que le papier peint n’est pas héréditaire car si ma mère en a posé plus qu’à son tour, moi, jamais. Et peut-être que si j’avais eu l’occasion de le faire, je l’aurais fait avec plus ou moins de bonne volonté mais là, hier, c’était vraiment une grande première. Surtout avec un avocat. Même pas un manœuvre et encore moins un ouvrier du bâtiment. Pardon ? C’est la même chose ? Un manœuvre et un ouvrier ? Ah bon ?

Bon, ça, de toute façon, on s’en fout, on n’est pas là pour faire de la sémantique, à une heure aussi matinale. Non, ce qui est intéressant c’est que sur le mur en question, nous avons posé trois lés, deux de la dimension du rouleau et un qu’on a coupé en largeur à 34 centimètres. Et en hauteur, on était à 2m22 pour chaque lé. Et ça nous a pris environ un peu moins de 2 heures pile. Parce que bon, quand on est avocat, même portugais, on n’est pas forcément un grand spécialiste du papier peint mural. Et moi, sans être maître, je ne savais pas toujours où me mettre. Et j’ai eu un ou deux de mes bras en l’air pendant si longtemps que j’en ai eu des crampes. Ça, c’était la partie intéressante de mon billet. Maintenant, on va aborder le point étonnant qui est Carlos (l’avocat portugais - o advogado português.)

Il a toujours commencé la pose du papier peint par le bas alors que moi, j’aurais commencé par le haut. Mais je n’ai rien dit car je n’allais pas sortir ma science sur un sujet que je ne maîtrise pas. Il n’empêche que quand j’en ai parlé à ma mère, hier soir, elle m’a confirmé que normalement, on aurait dû commencer chaque lé par le haut. Alors, qui faut-il croire, ma mère, presque nonagénaire ou un avocat portugais dont c’était la première fois pour lui aussi ? Bon, quelque part, on s’en fout un peu, non ? Puisque le travail a été fait et qu’il semblait bien fait. Mais pourquoi juste un couloir ? Parce qu’on n’avait que ça sous la main. Enfin, sous la spatule à maroufler. On a vu ce couloir qui était un peu abîmé et on a décidé de le refaire. Mais une heure avant, l’avocat portugais m’était inconnu, lui aussi.

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