mardi 28 mai 2024

je, sept et match

Non, non, vous ne rêvez pas, ce n’est pas une faute d’orthographe, j’ai bien voulu intituler mon billet du jour « je, sept et match » car moi, c’est comme ça que je vois les choses en ce moment. C’est vrai, et je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais depuis quelques jours, je suis très dans l’auto-centrage. Entre le billet sur mon oraison funèbre ante-posthume d’avant-hier, mon billet sur mes palmes d’hier et celui du jour, sur « je, sept et match », je reconnais que je dois être en pleine crise existentielle sur moi-même. En tout cas, avant-hier, en rentrant du cinéma, vers 19h, j’ai appris que Nadal avait été éliminé et loin de me satisfaire de la défaite d’un tel champion, j’ai poussé un ouf de soulagement. On allait enfin avoir un peu de suspense à Roland-Garros cette année, ça fera du bien.

Bon, c’est vrai que je n’étais pas du tout fan de Nadal mais bon, je reconnais qu’il aura marqué l’histoire du tennis et même si ça peut déplaire à certains qui s’y connaissent bien mieux que moi dans ce sport que j’ai pourtant pratiqué environ deux ans quand j’étais adolescent à peine pubère, moi, comme l’an dernier, j’ai un faible pour Stefanos Tsitsipas. Et tant pis si ça fâche les puristes, moi, je fonctionne au feeling et Tsitsipas, je l’aime bien et j’aime bien son jeu. Encore une fois, je ne suis qu’un amateur mais pas n’importe lequel. Je suis l’amateur numéro 1 d’où le « je » dans mon titre de billet : « je, sept et match » sinon, j’aurais écrit « tu, sept et match » ou « il, sept et match » voire « elle, sept et match) mais non, je reste sur mon nombril, et c’est moi je parce qu’en ce moment, moi, je…

Pourquoi le « sept » ?  Parce que si on y ajoute « aehn », ça fait Stéphane et encore une fois, c’est moi. Stéphane, c’est moi. Comme l’état, c’était Louis XIV et le tas, c’est ma belle-sœ… Non, on avait dit qu’on ne parlait pas du physique. Mettons que le tas, c’est Sophie et on en parle plus. Et pourquoi « match » ? Parce que c’est comme ça, c’est pour le jeu de mots. Et pour masquer ma colère. Le mot est un peu fort mais je l’assume. Dimanche soir, je voulais voir une pièce de théâtre sur France 4 (je l’avais même enregistrée au cas où) et à la place, on nous a balancé du tennis. Sans nous prévenir. Le match était joué. Et au lieu d’en venir aux mains et que ça finisse en catch, j’ai choisi de rester sur l’option match. Parce que je suis comme ça, moi. Je suis comme ça, moi. Moi, je. Sept et match. Ça va ?

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