mardi 27 août 2024

cette fois, c’est fait

Ah, on pourra dire qu’on aura transpiré avec la vente de notre précédent appartement car après la vente avortée en début d’année (et deux mois de procédures qui nous ont permis de récupérer le séquestre, ce qui est toujours mieux que rien), nous avons enfin signé l’acte définitif, hier soir et je peux dire que si j’en suis très heureux, je ne suis pas sûr de bien avoir réalisé. En effet, ce matin encore, je me dis « et si tout ça n’était qu’un rêve ? Et si ça allait encore durer des mois et des mois à devoir gérer cet appartement vide, à payer des charges en double et à avoir le souci permanent de se dire qu’avec la crise immobilière actuelle… » Mais non, ça y est et je crois pouvoir dire que c’est en grande partie grâce à la chance. En effet, c’est un coup de chance dû au hasard. N’oubliez pas que je ne crois pas au destin.

Et ce n’est pas parce que ce blog s’appelle C’est écrit que je pense que tout est écrit d’avance. Bien au contraire. Si ça s’appelle C’est écrit, c’est parce que les paroles s’envolent, comme celles des chansons et que les écrits restent. Pour le reste, à mes yeux, tout n’est qu’une succession de hasards. C’est probablement mon côté Lelouchien, le seul que j’ai. Cette histoire de hasards et de coïncidences. Et c’est exactement ce qui s’est passé avec notre nouvel acquéreur définitif. Il y a quelques mois, il est entré dans une agence, sur la rive droite et après avoir salué les employés, il leur a dit : « J’ai fait une bêtise dans ma vie. J’ai quitté Paris quand j’ai pris ma retraite et je me suis installé à Toulouse alors que c’est à Bordeaux que j’aimerais vivre. Trouvez-moi quelque chose dans le quartier maritime. »

Et l’agent immobilier qui s’est occupé de lui a cherché mais n’avait rien qui lui plaisait et il a regardé dans un fichier centralisé avec d’autres agences et d’autres professionnels, là où était le nôtre. Ils ont pris contact (ils se connaissaient déjà d’avant) et quand l’acquéreur a vu l’appartement, il a dit : « C’est celui-là qu’il me faut. » Et la suite n’a pas duré. Le temps de prendre rendez-vous chez nos notaires, de signer le compromis de vente et d’attendre deux mois et demi et hop, enfin, on peut passer à autre chose. Et je peux vous dire que pour moi, c’est un sacré soulagement. Pour le président, c’est un peu moins le cas car lui, au contraire de moi, il le regrette cet appartement excentré. Moi, je suis bien plus heureux de vivre là où je vis, aujourd’hui. Malgré les nuisances des livraisons du matin.

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