Ça fait plusieurs fois que je les rencontre, Bernadette et Stéphanie (voir billets des 2 et 12 octobre dernier – waow, ça va faire bientôt un mois que je n’ai pas parlé d’elles) et franchement, plus je les vois, plus je m’habitue et plus je les trouve drôles et sympathiques. Bon, bien sûr, comme beaucoup de commères, elles en racontent un peu trop sur les gens que nous connaissons mais elles me font rire. Je ne sais pas si elles le font exprès mais je pense qu’elles vont peut-être devenir des nouvelles copines. Je ne sais pas si j’aimerais partir en vacances avec elles mais les voir comme ça, ponctuellement, pour prendre une tasse de thé dans un salon du même nom ou pour se faire un repas ensemble, oui, ça pourrait me convenir. C’est curieux, hein, c’est comme si j’annonçais officiellement que j’avais des nouvelles amies.
C’est curieux, je n’avais jamais fait ça auparavant,
annoncer une nouvelle amitié ou de nouvelles amours. Tout comme je n’ai jamais
annoncé à qui voulait l’entendre quelque séparation que ce soit ou quelque
fâcherie que ce soit. Là, je vous le dis clairement mais aussi haut et
fort : Bernadette et Stéphanie sont de nouvelles amies. Pas des
confidentes, non, juste des amies mais dans le sens de bonnes copines. Quand
nous continuerons de nous voir, ce sera plus pour rigoler que pour philosopher
mais peu importe, un peu beaucoup de légèreté, de temps en temps, ça ne
fait pas de mal. Laquelle je préfère ? C’est difficile de trancher car si
l’une est un peu plus vacharde que l’autre, l’autre a une certaine candeur (qui
frise la bêtise) qui m’amuse mais qui peut aussi m’émouvoir. Elles n’ont pas
inventé l’eau tiède ni le fil à couper le beurre.
Ah ça non, mais encore une fois, ce n’est pas le propos, si j’ai envie de parler littérature, j’ai d’autres amis sous la main. Non, Bernadette et Stéphanie, c’est tout à fait le genre de personnes avec qui on fait la fête, on passe une soirée pendant laquelle on espère surtout s’amuser et parfois, au milieu d’une de leurs saillies peut surgir une vérité comme celle qui sort des puits. Elles sont un peu « pouf » mais elles sont sympathiques. En ce moment, on se voit régulièrement mais je crois que ça ne va pas durer, il se pourrait qu’elles disparaissent un certain temps, à partir de la mi-décembre. Peut-être un voyage. Une croisière. Oui, ça doit être leur genre, à elles. Mais elles reviendront peut-être. Dans quelques longs mois ou quelques petites années. Pour l’instant, on profite de chaque moment qu’on passe ensemble. C’est ça qui compte.
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