Ça faisait longtemps, hein ? En tout cas, depuis avant-hier soir, j’ai des soucis avec Canalblog. Ça recommence. Il m’a été impossible de publier mon billet d’hier jusqu’à près de 18 heures, hier. Parce que ça me le refusait. Ça me disait de contacter le service client. Au moment même où je m’apprêtais à publier mon texte du jour, voici le message que ça me disait : Cette fonctionnalité n’est pas disponible. Pour l’activer, merci de nous contacter. Qu’est-ce que ça veut dire, ça, que « cette fonctionnalité n’est pas disponible ? » La suite de la phrase, je l’ai bien comprise. Je l’ai même si bien comprise que je me suis empressé d’écrire à Canalblog, ce matin, à 5h et quelques minutes. Et finalement, on m’a dit que ça venait probablement du fait que je copiais-collais mon texte, ni plus, ni moins.
Mais depuis que ce blog existe, j’écris toujours sur Word et je copie-colle toujours mes textes, je ne comprends pas pourquoi, hier, ça n’a pas voulu fonctionner. C’est ce que j’ai dit au service client de Canalblog, que j’avais toujours fait ça et voilà, quoi. Alors, on m’a dit que je pouvais éventuellement faire un copier-coller mais un « coller » sans mise en forme. C’est ce que j’ai fini par faire, avec succès mais après 18h. Soient 13 heures après celle où j’avais fini d’écrire mon billet, hier matin. 13 heures d’angoisse. 13 heures pendant lesquelles mes millions de lecteurs et trices ont dû s’inquiéter et même penser au pire et probablement aller voir ailleurs. Combien de fans ai-je perdu pendant ces 13 heures, hier ? Parce que même un seul fan de perdu, ça ne se rattrape jamais. Qu’on se le dise. Que ça se sache.
Alors, je vous le dis en cent comme en mille. Je vous le en chant, comme Émile, ça fait bientôt un an que j’indique les deux adresses possibles pour me lire, pour lire mon billet quotidien et si ça continue comme ça, je vais certainement migrer définitivement sur Blogger. Et je voudrais rassurer tous ceux qui attendent mon billet quotidien comme le messie, si vous ne me voyez pas sur Canalblog, essayez l’autre lien, celui de Blogger, Blogspot, vous êtes quasiment certain de m’y retrouver. Ne nous perdons pas de vue. Ne cassons pas ce fil ténu qui nous lie. Ne nous inquiétons pas sans raison ni outre mesure. Pour ma part, j’ai décidé que dorénavant, ce sera comme dorénaprès. Même si ça ne plaît pas à tout le monde. Et advienne que pourra. Ou advienne que pourri. Et vive la France. Et chapeau bas.
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