Alors, comme c’est peut-être aujourd’hui que je vais retourner à la piscine pour utiliser une des neuf entrées qui me restent à prendre avant le 12 mars (voir billet d’hier), j’espère juste que ma gastro sera bel et bien derrière moi (quelle curieuse façon d’en parler car bien souvent, une gastro, ça se passe derrière – sauf en cas de nausées et de vomissements mais ça n’a pas été mon cas, sauf les nausées), je me dis juste que si j’ai encore le moindre doute quant à l’état de l’inflammation de la muqueuse de mon tube digestif, je pense que ça ne serait pas raisonnable d’y aller. En même temps, qui le saurait ? Il me suffit juste de ne pas avoir envie d’aller aux toilettes. En espérant que de batifoler dans l’eau, ça ne donne pas envie à mes intestins d’en faire autant. Non, vraiment je me tâte.
Je me tâte parce que, en même temps, j’en ai envie, d’aller nager. Mais pas en eaux troubles, hein ? Et puis, imaginons que j’ai des envies irrépressibles de me lâcher, soit ça peut faire propulseur et là, ça risque de se voir que je vais plus vite qu’en temps normal et on va croire que je me dope. Surtout, que ça risque de se voir. Je vais certainement laisser un sillage derrière moi et j’aurai beau dire que ça ne vient pas de moi, si je suis seul dans ma ligne de nage, je ne vais pas être crédible. Non, le mieux, c’est que je fasse comme pour certains, ceux qui mettent des bouchons d’oreilles pour aller nager, il me suffit d’aller acheter un bouchon d’anus. Et si ça n’existe pas encore, je suis prêt à en déposer l’idée voire le brevet car ça pourrait servir à plein de sujets, pas seulement contre les gastro-entérites.
Quoiqu’il en soit, comment j’ai attrapé ça ? Alors, soit dans le tram, soit à la piscine soit carrément, c’est suite aux énièmes conneries dites et faites par Elon Trump et Donald Musk, là vraiment, on ne peut pas le dire autrement, ils nous font chier dans les grandes longueurs et dans les grandes largeurs. Mais comment peuvent-ils encore avoir du soutien ou de la compréhension en Europe ? Moi, ces deux mecs, totalement fous à mes yeux, me font peur. Ils veulent être les maîtres du monde comme dans un film de James Bond. Et encore une fois, moi, ça, ça me fait chier. De là à m’en rendre malade, il n’y a qu’un pas que j’ose franchir. Et pourtant, je devrais essayer de m’en foutre car je n’y peux rien, contre tout ça. Juste prendre du Spasfon et du Smecta. Et un Doliprane quand le mal de tête est trop fort.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire