vendredi 27 juin 2025

de retour chez soi

Après ce très agréable séjour à Biscarrosse, pendant lequel nous avons pu être jusqu’à 7, avec les chiens, nous l’avons terminé à 5 (toujours avec les toutous) et là, ce matin, c’est le retour à chacun chez soi et ainsi, les moutons de Panurge seront peut-être bien gardés. C’est le retour sans son lit. C’est le retour à mon coin bureau. C’est le retour à mes routines. Et là, en ce samedi, le dernier de juin pour cette année, je vais devoir faire des choses que je fais en semaine, d’habitude. Comme des courses, tout à l’heure car il va bien falloir se sustenter. Et prévoir une ou deux séances de cinéma car ça fait environ deux mois que je n’y suis pas allé et ça me manque et plusieurs films m’intéressent qui viennent de sortir. Et retrouver mon lit car on a beau dire mais son propre lit, qu’est-ce que c’est bon de se remettre dedans après presque deux semaines.

Maintenant, je ne peux pas dire que je n’ai pas comme un petit coup de grisou parce que finalement, c’était bien ces quelques jours à Saint-Maixent et ces presque dix jours à Biscarrosse. Mais dans la vie, on ne peut pas toujours être en vacances. Et, en ce qui me concerne, je me suis déjà posé la question : vu que je ne suis pas totalement heureux en centre-ville à cause des incivilités et des nuisances (dont je n’ignorais pas l’existence avant d’y revenir, bien sûr), est-ce que je le serais plus dans un endroit vraiment isolé comme là-bas,  à Biscarrosse ? Je crois qu’en tant que membre permanent des Éternels Insatisfaits, non, bien sûr que non. J’y trouverais mon compte, globalement mais il me manquerait un grand cinéma avec plus de dix salles, il me manquerait ma librairie préférée et sans doute deux ou trois choses encore. Bref, jamais content.

Jamais content mais capable de me dire que chaque chose en son temps, idem pour chaque ville et comme à l’époque où je travaillais, les vacances, c’est bien mais j’aimais tout autant rentrer chez moi au bout de deux ou trois semaines. Parce que quelque part, j’aime le cocon dans lequel je vis. Quel que soit le cocon. Quoiqu’il en soit, tout est, tout n’est qu’une question de point de vue. Et puis, là, à Bordeaux, des rendez-vous m’attendent, d’autres sont pour le patron, d’autres pour le président et même certains pour les chiens, surtout pour Shuka. Alors, contre mauvaise fortune, j’ai choisi de faire bon cœur. Et si ça ne me convient plus, dans quelques temps, quelques petites semaines, nous y retournerons, à Biscarrosse. Et peut-être aussi à Saint-Maixent, fin septembre. Je suis invité à célébrer les 65 ans des Pibolous. Irai-je ? Pourquoi ne pas y aller, hein ?

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