mardi 3 juin 2025

premier matin à Biscarrosse

Un premier matin à Biscarrosse. Nous sommes arrivés hier, en fin d’après-midi et là, il est encore bien tôt et je suis avec les chiens, assez près de moi, à quelques mètres. Ils sont déjà sortis car forcément, après avoir beaucoup remué la queue pour me montrer qu’ils étaient très contents que je me lève, ils n’attendaient plus qu’une chose : que je leur ouvre la porte sur le grand jardin. Et moi, je me suis préparé un café et j’ai allumé mon ordinateur. Et j’ai regardé les éventuels quelques mails personnels que j’avais pu recevoir et j’ai ouvert Word et je me suis mis à écrire. Juste pour parler de ma vie quotidienne. De ce premier matin ici. Là où nous allons rester jusqu’à dimanche ou lundi car au-delà, ça ne sera pas possible. Dès mardi prochain, kiné, notaire et A.G. pour l’appartement du cours d’Alsace et Lorraine.

Dès le lendemain, mercredi, rendez-vous à Artigues pour vendre une des deux dernières voitures du patron, le GLC et échographie de mon pied gauche. Ah, décidément, cette aponévrosite, on pourra dire qu’elle m’aura bien occupé, depuis octobre dernier. Dès jeudi, rendez-vous chez le médecin du sport (qui a ri ?) pour une infiltration (même si mes baskets me soulagent, la douleur est quand même toujours là, tapie dans un coin, prête à surgir et tant qu’à faire, aux grands maux, les grands remèdes, non ?) et dès vendredi, rien. Mais dès le lundi suivant, ce sera un voyage vers chez ma mère, à Saint-Maixent avant de revenir à Bordeaux avec elle et là, nous pourrons espérer revenir à Biscarrosse pour le 20 juin. Normalement, le 22, ce sera l’anniversaire du président et la remise de son beau livre, son atlas des 80 ans.

Mais d’ici là, il y a d’abord ce matin. Ce matin où je suis là, dans cette belle maison, en bordure de forêt, avec une très belle trouée sur le golf. J’entends déjà les oiseaux chanter. Je sais que le soleil ne va pas tarder à se lever même si on sait déjà qu’il va se la couler douce, cette semaine. Ce sera plus nuageux qu’ensoleillé mais tant pis. L’essentiel, pour le président et moi, c’était de fuir chez nous car pendant cinq jours, dans la Promenade Ste Catherine, du côté des chambres, il y a des animations autour de l’océan et des concerts ou des projections de films tous les soirs jusqu’à au moins 23h. Et ça, moi, c’est niet de chez niet (voir billet d’hier…) Bref, quelques jours au vert même si le ciel risque d’être plutôt gris. Une semaine tous les cinq. Mouais, ça me va. Ça me va même très bien. Il m’en faut peu pour être heureux. Peu pour être heureux.

https://cestecritbysibal33.blogspot.com/

http://sibal33.canalblog.com/

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

chouette, j’ai de nouveau mal au dos

Chez moi, il y a quelque chose dont je suis à peu près certain d’être sûr, à quelques nuances près. Enfin, je dis « chez moi », je devrais d...