C’est vraiment étrange mais quand je me bouche le nez, au bout d’un moment, je n’arrive plus vraiment à respirer. Alors, ce n’est pas étrange que je n’arrive plus à respirer, mais ça l’est que ça se passe au bout d’un moment. Comme quoi, je peux donc faire un peu d’apnée, ce n’est pas immédiat. C’est toujours bon à savoir. Maintenant, quand je me bouche les oreilles, au bout d’un moment, ça ne m’étouffe pas du tout, bien au contraire, je respire tout à fait normalement. En revanche, j’entends nettement moins bien. De là, à penser que quand je bouche les oreilles, j’entends moins mais ça ne me fait pas mourir d’étouffement il y a un pas que je suis prêt à franchir. Alors que quand je me bouche le nez, j’entends les choses comme si je n’avais rien dans les oreilles pour m’empêcher d’écouter, justement. C’est clair ?
Quand je me bouche le nez (et quand je me bouche les oreilles), je me sers de deux doigts, les auriculaires (destinés aux oreilles) pour le nez et les index, pour les oreilles. Comme quoi les choses sont bien faites car deux trous, deux doigts. En revanche, quand je me bouche les oreilles, ça m’est très difficile de me servir de deux doigts. Je n’ai pas cette prétention-là. En même temps, quand je me bouche le nombril, j’entends normalement et je peux tout à fait continuer de respirer. En revanche, j’ai mon égo qui est un peu chatouilleux et donc, au bout d’un moment, j’enlève mon majeur (toujours aucune prétention de ma part) car ça ne me sert à rien de rester avec un doigt dans mon ombilic. Et tant qu’à faire, autant rester dans l’utile ou l’agréable et non pas dans leurs contraires. Qu’en pensez-vous ?
Quand je me bouche le nez, ça n’a aucune influence dans mon sphincter anal externe, le seul que je suis à même de contrôler vu que l’autre est en roue libre (le sphincter anal interne) alors que si un médecin (ou moi-même, un jour d’ennui profond), je me bouche le sillon interglutéal avec mon majeur (même remarque que dans le paragraphe deux : sans prétention, aucune), déjà, c’est que je peux encore le faire, ce qui témoigne d’une certaine souplesse (attention, je n’ai pas dit que c’était facile) mais surtout, ce qui est plus important, c’est que ça ne m’empêche pas de respirer. Ça me fait éventuellement soupirer mais c’est tout. Ou ça peut faire mal. Et ça ne m’empêche pas d’entendre quoi que ce soit. Bref, c’est surtout quand je me bouche le nez que je prends le plus de risques. Mais j’en ai parfaitement conscience, alors…
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