Première conférence téléphonique, hier, avec Bernard, mon acolyte de show, mon chaud acolyte. Première véritable réunion pour dessiner les contours de notre prochain spectacle, le 28 mars prochain. Je vous jure que ça n’est pas une mince affaire parce que là, tout d’un coup, on a tant de matière (chansons, idées de textes et de mise en scène) que ça va être compliqué de mettre tout ça à plat. Mais comme Alain possible nul n’est tenu (je vous promets que nos jeux de mots seront plus rigolos que ça), il suffit juste de s’y mettre. C’est bien ça le problème, il faut s’y mettre. Et moi, ça peut être très rapide sauf qu’il ne faut pas que je traînasse. Il ne faut pas que je procrastine sinon, ça peut aussi prendre bien trop de temps. Non, il faut vraiment battre son frère quand il est chaud.
Alors, ce matin, après une nuit de sommeil (réparateur ?), qu’en ressort-il de cette conférence téléphonique d’hier ? Il en ressort que pour l’instant, nous avons 6 chansons pour la première partie et 6 pour la seconde partie. Donc, comme l’an dernier, pour mes 65 ans, 12 titres à apprendre en play-back et sur certains desquels, nous devrons faire une chorégraphie. Sauf qu’il y a quelques titres qui seront très raccourcis, pour n’en garder que quelques vers et là, on parle de 4 chansons et une dernière, totalement outsider, sur laquelle, il faudra que nous nous prononcions avec un vote qui, même s’il est à main levée, devra obtenir la majorité absolue (50% des voix + 1) alors que nous ne sommes que deux à voter, justement. Ouh la, la, ça va me donner mal à la tête, ça, dès le matin.
Non, allez, je vais me reprendre et me dire que tout va bien se passer. Et à moins que nous entrions dans la troisième guerre mondiale avant la date de notre spectacle, tout devrait être au poil. Oui, à moins que Bernard ou moi, l’un de nous, ait la mauvaise idée de vouloir mourir avant la représentation. Là, d’accord, ça peut compromettre notre projet. Mais seulement à moitié. Oui, sauf si nous mourons tous les deux, là, ça le compromettrait totalement. Parce que, trouver deux remplaçants (d’entre 65 et 75 ans) capables de se rendre ridicules sur scène, je ne vous dis pas. Bon, écoutez (ou plutôt, lisez), on va dire que tout sera prêt le jour J pour la fête F à l’endroit E que nous aurons un certain succès S. Si avec ça, on n’y arrive pas, il faudra qu’on envisage de changer de métier.
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