Non mais vraiment, je vous jure, je pensais avoir tout vu mais il y a encore des choses qui me surprennent dans ce monde qui marche sur la tête. J’en veux pour preuve tous ces discours au sujet de la dette phénoménale que doit notre pays, dette qui ne cesse de s’accroître et contre laquelle on a l’impression qu’on cherche surtout à faire des nouvelles recettes (fiscales) avant de travailler sur les dépenses. Moi, hier, il m’est arrivé une mésaventure dont j’aimerais parler ici ce matin. Et qui prouve que si dette il y a, elle reste à prouver et que l’état, ce gros tas, ne cherche que des recettes faciles mais pas du tout des recettes intelligentes. Si, si, j’assume. Parce qu’il peut y avoir des recettes intelligentes. Pleines de bon sens. Et qu’on se demande pourquoi elles ne sont pas prises en compte.
Tout ça parce qu’on est presque au milieu du mois de décembre et pour les contribuables concernés, c’est le moment de payer sa (ou ses) taxe(s) d’habitation. Et moi, j’en connais un qui est (largement) touché par cet impôt (les montants sont de plus en plus élevés, c’est incroyable mais pas tant que ça, finalement) et c’est… Et c’est… Oui, c’est le patron. Et là, comme je m’occupe pas mal de ses affaires, je peux vous dire qu’à l’approche de la date butoir, je me suis interrogé sur « pourquoi on n’a toujours pas reçu les avis pour prévoir le(s) paiement(s) ? J’ai d’abord pensé à un problème avec la Poste (ce qui ne serait pas nouveau) mais après avoir contacté les services fiscaux, j’ai enfin obtenu une réponse. Il leur a fallu cinq jours (comme prévu) pour nous tenir informés. C’est mieux que rien.
Vous voulez savoir de quoi il retourne ? Vous n’allez pas être déçu(e)(s) : « Nous avons étudié votre dossier et, en effet, la taxe d’habitation du 9 de la rue D…U n’a pas été envoyée en raison d’une erreur informatique. Je vous confirme le montant de votre taxe de 1 779 euros. En raison de ce retard informatique, vous recevrez votre avis d’imposition en juin 2026. » Alors moi, après avoir éclaté de rire (le patron aussi – mais c’était surtout nerveux), je me suis dit : si on avait vraiment une dette colossale, l’état n’attendrait pas pour récupérer cette somme et toutes les autres car le patron n’est assurément pas le seul concerné. Parce que, qu’est-ce qui empêche le Fisc de récupérer l’argent ? Une erreur informatique ? Pffft, ça a bon dos, l’informatique. Ils n’en veulent pas ? Tant pis pour eux.
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