samedi 25 octobre 2025

c’est pour les feignants, uniquement

Je sais que je me répète. Voire que je radote. Mais cette nuit, on est passé à l’heure d’hiver et moi, à l’heure d’hiver, je préfère les faits divers. Parce que je déteste les changements d’heure. Que ce soit d’hiver ou d’été. D’ailleurs, au changement d’heure d’été, je préfère celle des thés. En tout cas, peu importe. Hier soir, vers 19h30, heure locale, j’ai déjà modifié tout ce qui ne l’est jamais automatiquement comme les téléphones, les ordinateurs et les sex-toys électroniques. J’ai donc reculé d’une heure le lecteur de cassette VHS, deux pendules rondes, cinq réveils, le radioréveil du président et j’ai laissé le reste faire le boulot tout seul. Et ce matin, dans ce que j’ai pu en voir, tout est OK. Mais en réalité, tout n’est pas OK. Car je déteste vraiment ça. Et qu’on ne vienne pas me dire qu’on a dormi une heure de plus. La belle affaire, Albert.

Ça, c’est un discours de feignants, de croire à la promesse de dormir une heure de plus dans la nuit du dernier samedi au dimanche d’octobre, chaque année. En réalité, c’est un leurre. C’est un appât. C’est pour mieux nous endormir. Quand je pense qu’à cause de la crise sanitaire, on a supprimé la suppression des changements d’heure votée en 2019 pour application en 2021 (on se demande quel était le rapport avec le virus ?), je me dis que décidément, la Covid a foutu un gros bazar pour ne pas dire un gros bordel. Cela dit, on parle d’une éventuelle suppression en 2026 alors, on verra bien. Maintenant, on peut se demander à quoi ça sert, réellement, ces changements d’heure biannuels. Au départ, je m’en souviens (je trouvais même ça plutôt sympa – je ne sais pas si c’est le bon adjectif mais tant pis), on disait que c’était pour des économies énergétiques.

Avoir plus de lumière en soirée mais moins le matin, pour moi qui suis un lève-très-tôt, ça n’a aucun intérêt. Pour les autres, ceux qui se couchent tard et se lèvent pareil, les feignants, en quelque sorte (désolé pour ceux que je connais qui ont ce rythme de vie), c’est génial. Sauf le passage à l’heure d’été. Mais pour moi, quelle que soit la saison, je n’aime pas ces changements. Parce que d’abord, ça perturbe mon estomac. Ensuite, parce que ça désoriente les animaux et je pense à « mes » chiens, en particulier. Et enfin, les économies annoncées sont loin d’être si intéressantes que ça (on utilise plus de lampes LED et de climatiseurs qu’il y a cinquante ans) et en plus, il paraît qu’il y a beaucoup plus d’accidents mortels de piétons (+42% en France entre 17 et 19h pendant les jours qui suivent ce changement d’heure, en octobre.) Bref, au vu de tout ça et du fait que vraiment, je déteste ça, je propose qu’on vote la suppression à vie de ces changements d’heure.

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vendredi 24 octobre 2025

zone à risques

Oui, il y a des zones à risques et avant-hier, j’en ai fait l’expérience. J’ai failli écrire la douloureuse expérience mais on m’aurait encore taxé de chochotte. Eh bien oui, que voulez-vous que la bonne y fasse, je suis douillet, bien plus que David. Je suis même ultra-douillet. Je suis le champion du monde des douillets. Je vous rappelle que je suis bélénophobe et ceci explique plutôt bien cela. Je n’y peux rien, je n’aime pas les piqûres. Ni dans l’épaule. Ni dans la fesse. Ni dans le talon (putain d’infiltration, début juillet, quand j’y pense…) Donc, en conclusion, pour moi, avant-hier, c’était bel et bien une expérience douloureuse. J’ai failli me trouver mal. « Ça n’a duré que deux secondes, Stéphane… » Ce sont deux secondes de trop. Je n’aime pas les piqûres. Je suis toujours angoissé avant qu’on m’en fasse une

Et comme je suis angoissé, je suis crispé et ça me fait mal. Et qu’on arrête de me dire que ça ne fait pas mal, c’est faux. Et archifaux. Et là, même si effectivement, ça n’a pas duré longtemps, c’était suffisant pour que je ressente une douleur. Et depuis, ça fait deux jours que j’ai mal dans l’épaule. Quand je me suis fait vacciner contre la Covid, il y a quinze jours ou trois semaines, j’ai eu mal pendant 48 heures mais pas autant que là. Je me suis fait vacciner contre quoi ? Contre la connerie ambiante et je peux vous dire que je l’attendais, ce traitement. Mais je ne sais pas s’il va marcher parce que si on me l’inocule à moi, comment les cons, les agressifs et les incivils vont-ils changer ? Ah, ça va me glisser dessus. Tu parles, Charles. Non, vous l’avez compris, je plaisante. Y a rien contre la connerie.

En réalité, je me suis fait vacciner contre le zona. Parce que j’ai plus de 65 ans. Et comme j’ai déjà eu la varicelle (même si c’était au siècle dernier), je suis une personne à risques. C’est comme ça. Je suis « vieux » (surtout pour les jeunes) et on peut me taxer mes pensions de retraite à qui-mieux-mieux, je ne risque pas de bloquer le pays vu que je suis devenu improductif et en plus, ça craint, je peux attraper la grippe (je refuse le vaccin, je prends les granules homéopathiques depuis des années) et un bon gros zona de derrière les fagots. Eh bien, qu’on me ponctionne d’un côté et qu’on m’inocule de l’autre. Oui, je suis un inoculé. Tant pis pour mon image. Tant pis si je perds des lecteurs. Ce matin, je suis encore fatigué, encore douloureux et j’ai même mal à ma retraite. Tout est lié. Ouais, c’est ça, lié.

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jeudi 23 octobre 2025

presque jumeaux

Lui, il est né le 25 octobre 1959. Moi, un peu moins de 50 jours après, plus tard. Donc, on peut considérer que nous sommes un peu jumeaux. Jumeaux d’année. De fin d’année. Et c’est amusant car il m’a suivi toute ma vie et je l’ai moi-même suivi toute sa vie. Et, plutôt (c’est le chien de Mickey) que lui souhaiter un bon anniversaire, demain, je préfère parler de lui, aujourd’hui. Car déjà hier, c’était un grand jour. Le jour de son quarante-et-unième. Son quarante-et-unième quoi ? Mais ne soyez pas impatients, ne brûlez pas la peau de l’ours avant d’avoir atteint l’étape, d’accord ? Et celui à qui je veux rendre hommage, ce matin, c’est un peu mon plus vieux copain d’enfance. Et même au bout de 66 ans, nous continuons de rester en contact et ça, si ça n’est pas un signe d’amitié, hein ‽

Bon, allez, OK, je vais vous dire de qui il s’agit. Même si j’aurais préféré vous faire languir. Il s’agit d’Astérix (dont la véritable année de naissance est 85 avant Jésus-Christ), mon vieux pote Astérix. Je me souviens que pour nos 35 ans, j’avais fait un numéro spécial de mon fanzine mensuel L’impromptu, un numéro prétentieusement axé autour de ma propre petite personne et je l’avais mis dans un coin de la couverture. Astérix dont j’ai tous, tous, tous les albums. Astérix dont j’achète chaque nouvel opus le jour de sa sortie, depuis un certain temps, maintenant. Et hier, je n’ai pas dérogé à la règle. Dès que j’ai pu, alors que la librairie Mollat ouvrait à 10h, je suis passé en caisse à 11h07. Ouais, je sais, j’aurais pu faire mieux mais c’est déjà bien, non ? Une heure de retard, ça va.

Parce que j’ai eu des obligations qui ont entraîné un peu de retard dans mon emploi du temps, un peu avant de pouvoir aller faire mon achat. Mais l’essentiel, ça a été de découvrir les premières pages le plus vite possible. Les noms des personnages, les lieux, l’intrigue et tout et tout. Parce que son titre, Astérix en Lusitanie (Portugal), ça faisait des mois que j’attendais ça. Et là, j’ai commencé une liste de choses typiques de l’Albanie et j’ai en tête de l’envoyer aux auteurs, surtout Fabcaro, le scénariste pour lui proposer cette idée de voyage pour notre héros national. Astérix et moi, nous sommes des faux jumeaux car nous ne nous ressemblons pas. Il a les cheveux blonds et moi, tout blancs. Et même si je ne suis pas très grand, je pense que je le suis un peu plus que lui. Mon pote.

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mercredi 22 octobre 2025

dialogues : Dieu, l'homme et son image (7)

Hmmm… (silence) Hmmm… Oui, mortel ? Quoi ? Je ne sais pas, mortel. Tu es là, tu regardes, tu fais des borborygmes que tu penses faire passer inaperçus mais je t’ai entendu, que t’arrive-t-il, mortel ? Moi ? Oui, toi, mortel. Rien, Dieu. J’étais juste en train de regarder, c’est tout. Je ne voulais pas te déranger. Écoute, si tu as quelque chose à me demander, je suis habitué, je t’écoute. J’espère juste que tu as fait un peu de progrès dans ta façon de voir les choses. Non, non, vraiment, Dieu, rien, je passais juste par-là, c’est tout. Bon, si tu me disais la vérité, mortel, tu sais que quand tu mens, je le vois ? (silence) Je t’écoute, mortel. Bon, OK, je regardais. Je voulais juste savoir comment tu étais installé pour pouvoir nous surveiller de là-haut ? Je voulais savoir si ton fauteuil était confortable.

Mon fauteuil ? Pourquoi, mortel ? Sache que Dieu n’est jamais assis, mortel. Dieu n’a pas de séant. Comme toi. Comme ton commun. Mais si tu n’as pas de séant, Dieu, comment tu fais, alors, pour te reposer, comme au septième jour ? Dieu n’a pas de corps comme toi, mortel. Dieu est une entité et donc, Dieu n’a pas besoin de s’asseoir. Dieu n’est jamais physiquement fatigué. Ah bon ? Mais moralement, si tu savais comme c’est difficile de te supporter, mortel, si tu savais… Oh, il ne faut peut-être pas exagérer, Dieu. Je n’exagère pas, mortel. Mais alors, le septième jour, justement, comment tu t’es reposé, Dieu ? Dieu ne se repose pas comme les mortels, mortel. Dieu se repose d’une façon cosmique. Dieu ne sait pas ce que sont les insomnies. Le repos de Dieu, c’est intangible.

Tu ne peux pas comprendre, mortel. Ouais, c’est là que ça ne va pas, Dieu. Qu’est-ce qui ne va pas, mortel ? Tu dis que tu nous as fait à ton image mais pourquoi tu ne nous as pas donné le pouvoir de nous reposer comme toi, d’une façon cosmique ? Parce que c’est comme ça, mortel. Je suis Dieu et c’est moi qui choisis. Et je suis supérieur à toi. Ce n’est pas juste, Dieu. C’est toi qui es incapable de justice, mortel. Tu ne penses qu’à toi. Qu’à ton petit pré-carré et le reste… C’est quoi un pré-carré, Dieu ? C’est ton domaine, celui qui t’appartient et qui t’est réservé. Tu parles, Dieu, moi, je suis locataire. Un deux-pièces à Villenave d’Ornon, alors les pré-carrés, moi… Tu me fatigues, mortel. Je pense que je vais retourner me reposer. M’évaporer. Tu as un truc, pour faire ça ? Hein, y a un truc ?

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mardi 21 octobre 2025

Eden au paradis

Non, ce n’est pas un pléonasme. On peut très bien écrire (ou dire) Eden au paradis car Eden, c’est aussi un prénom avant d’être le jardin des délices, d’après la Bible. Tu confirmes, Dieu ? Hmmm ? Pardon ? Eden, jardin des délices ? Oui, je confirme. Merci, Dieu. Oui, mais alors, moi, je me demande, jardin des délices, ça peut s’apparenter à un jardin des plaisirs et un lieu comme ça, ça me fait penser à un club échangiste. Ou à un baisodrome. Ce qui me fait penser à ce mec qui voulait aller dans un club libertin avec sa femme qui elle, ne le voulait pas et donc, il a fini par échanger sa femme contre une autre, qui elle, était d’accord et ainsi de suite et maintenant, il ne sait plus vraiment où il en est, le pauvre gars. Ouais, je sais, cette anecdote n’apporte rien au sujet du jour mais j’ai eu envie de la raconter parce que si je ne le fais pas maintenant, quand le ferai-je, étoile des neiges ?

Moi, ce matin, avant de digresser comme un lubrifiant, j’avais juste envie de parler du prénom Eden qui est plus masculin que féminin, en France (environ 80/20 – la loi de Pareto qui, si j’en avais parlé en soirée, se serait appelée la loi de Paretar) parce que depuis samedi dernier, j’en connais un, d’Eden mais attention, Eden sans accent, hein ‽ Oui, un jeune homme de 21 ans qui remplace Bachar (pas Al-Assad, non, un autre) que j’ai côtoyé pendant deux ans sans vraiment le connaître. Sauf que je sais qu’il est en train d’écrire une thèse sur les utopies Shakespeariennes (je crois que le vrai titre, toujours provisoire de sa thèse, c’est « Les éthiques du « care » dans trois œuvres utopiques de la première modernité anglaise : Thomas More, Francis Bacon et James Harrington. » Ouais, comme dans beaucoup de cas, la plupart, même, les titres de thèses sont toujours un peu abscons.

Pour en revenir à Eden, c’est un garçon charmant, très convivial, très souriant, peut-être un peu trop sûr de lui (même s’il reste toujours très poli) mais n’est-ce pas un des apanages de la jeunesse actuelle, ça ? L’origine de son prénom peut être double : hébréophone (là, il signifie « délices ») ou vieil anglophone – Eadun (d’ead qui veut dire prospérité et un qui veut dire ourson – donc, le prénom signifie ourson prospère. Yop, la, boum. Est-ce que tout est clair ? Comme le prénom masculin qui veut dire illustre, Clair, assez rare, il faut bien le dire. Je n’en ai rencontré qu’un, dans ma vie, de Clair. Mais si peu que ça compte à peine. En revanche, Eden, en quelques jours, j’ai déjà beaucoup échangé avec lui. Et échanger, ça ne vous rappelle rien ? Oui, le jardin des plaisirs du premier paragraphe. Échanger, échangisme et tout et tout. La boucle est bouclée, comme on dit mal.

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lundi 20 octobre 2025

Bernadie et Stéphanette (2)

Non, promis, juré, craché, je ne vais pas vous saouler pendant des jours et des jours sur notre prochaine prestation, avec mon camarade de show. Oui, avec lui, c’est toujours show devant. Non, donc, je ne vais pas vous parler de ça tous les jours mais quand même, là, je voudrais juste vous dire que c’est dingue comme un événement ou une promesse d’événement peut changer une vie. Depuis quelques temps, j’étais dans une espèce de routine morose, d’où mon besoin de m’évader par l’écriture, de plus en plus présent. Et là, rien que d’avoir évoqué l’idée de remettre Bernadette et Stéphanie sur scène, ça m’a donné des ailes. J’ai déjà trouvé cinq ou six chansons, des pépites. Parce qu’il faut bien se renouveler. Hormis deux ou trois tubes. Les incontournables. Mais peut-on parler de tubes à notre niveau ?

Bien sûr. On le sent, quand on est sur scène, si une chanson a plus d’impact qu’une autre. Et comme je pense que nous garderons le nom de notre précédente mais néanmoins première prestation « Chacun son homme », nous garderons justement ce titre-là. Mais ce que je voulais surtout vous dire, ce matin, c’est qu’hier, j’ai déjà écrit l’introduction du show, une partie qui sera jouée et dansée. Pour le reste, il y aura forcément de l’improvisation, au contraire d’il y a un an. Parce que là, il y aura nettement plus de monde, parce que nous aurons des micros, parce que je ne connaîtrai pas assez de monde pour écrire des choses sur les autres invités et parce que, parce que. Mais je vais mettre un point d’honneur à faire comme l’an passé : tenir le texte et les chorégraphies sur le bout des doigts et des orteils.

Oui, ça, c’est la clé d’une prestation réussie (dans la forme) et pour arriver à ça, il n’y a pas cinquante façons de faire, il n’y en a qu’une : travailler, travailler, travailler. En gros, dans un premier temps, écrire, peaufiner, lire à haute voix pour se mettre le texte en bouche et le jouer à deux pour voir ce que ça fait. Ensuite, répéter, répéter, répéter. Jusqu’à en avoir une overdose. Et enfin, s’imaginer en situation, anticiper les problèmes (même si on ne peut pas penser à tout) et caler les musiques. Faire des coupes dans certaines chansons (la plupart) car il ne faut pas lasser le public. Et prendre son pied. S’amuser. Se faire plaisir. Jouir. Oui, jouir. Parce que, en espérant captiver l’attention d’un public, en entendant des rires, des waouh et des applaudissements, on se dit qu’on n’a pas perdu son temps. Laisser un souvenir joyeux.

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dimanche 19 octobre 2025

Bernadie et Stéphanette (1)

Ah tiens, quand on parle du loup, on en voit la queue, non ? Eh bien, justement. Hier, quand ma cousine est venue déjeuner à la maison (enfin, dans celle du patron car chez moi, d’abord, ce n’est pas une maison mais un appartement et ensuite, comme on a l’ascenseur en panne, suivez mon regard…), il n’en a pas été du tout question mais quand elle est quand même venue chez nous, vers 17h30, après avoir monté l’équivalent des 5 étages à pied, on a abordé sa soirée de départ en retraite, le 28 mars prochain. Et là, je lui ai demandé si elle aurait éventuellement besoin des services de deux vamps fatales (souvenez-vous, ces deux créatures qui sont venues fêter mon anniversaire en décembre dernier), Bernadette et Stéphanie, en français, dans le texte. Et elle m’a dit « pourquoi pas », tout d’abord et « oui », enfin.

Donc, ça y est, je vais me mettre sur mon 31… Non, je vais me mettre sur le pied de grue… Non plus, ça ne se dit pas, ça. Je vais me mettre sur le pied de guerre… Non, on ne se met pas sur le pied de guerre mais on est sur le pied de guerre. Bref, vous m’avez compris, comme disait Charles, quand on lui disait « Tu parles. » Le but du jeu, c’est de faire revivre ces deux personnages ma foi plutôt sympathiques mais de préparer un show sur mesure qui reprendrait les très grandes lignes du premier spectacle tout en abordant les spécificités des invités de ma cousine et ma cousine elle-même. Autant vous dire que je suis déjà prêt du niveau de l’ébullition cérébrale. Parce que comme je n’ai encore aucun élément pour travailler mais que j’ai déjà plein d’idées… Je peux vous dire que j’ai les pneus de mon cerveau qui vont chauffer.

Et il va me falloir trouver les chansons adéquates. Reprendre nos grands succès (à partir de quand peut-on considérer qu’une chanson est un grand succès ? Une seule soirée ? OK, c’est vendu comme ça.) mais en apprendre d’autres, des plus adaptées à la situation en question. Je sens que je vais bien m’amuser. Je sens que je vais bien m’éclater. Je me voyais déjà, en haut de l’affi… Justement, il va falloir modifier la première, ouais. Ah zut, il y a juste un paramètre que je n’ai pas encore pris en compte. Tant pis, laissez-moi fantasmer pour une journée encore. Quel paramètre ? Vous voulez me gâcher ma journée ? Bon, OK, je n’ai pas encore demandé son avis ni son accord à Bernard. Celui qui joue le rôle de Stéphanie. Mon Dieu, en qui je ne crois pas, faites qu’il dise oui, hein, d’accord ? Mortel ? Je vais réfléchir et je te donne ma réponse.  

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c’est pour les feignants, uniquement

Je sais que je me répète. Voire que je radote. Mais cette nuit, on est passé à l’heure d’hiver et moi, à l’heure d’hiver, je préfère les fai...