mardi 1 avril 2025

journée de la religieuse

Hier, 1er avril, je ne me suis pas spécialement méfié de tout ce que j’allais voir ou entendre mais quand même, là, avec un peu de recul et une fois l’objet avalé, je me dis que si ça se trouve, Greg, de chez Jocteur (la bonne boulangerie-pâtisserie « lyonnaise » près de la mairie – ses spécialités : tartelettes fines aux abricots, religieuse – café, vanille, chocolat, praliné, praline rose, pistache, citron…, ses petites brioches à tête, ses presque tout et sans doute d’autres encore), donc, si ça se trouve, Greg, de chez Jocteur, très sympa, il s’est moqué de moi. Au moins pour une des deux informations qu’il nous a données, au patron et à moi. En effet, quand j’ai vu qu’il y avait encore plein de religieuses dans la vitrine réfrigérée, à 17h, je lui ai dit « vous avez des religieuses malgré le beau temps ? »

Oui, parce qu’il m’a toujours dit que dès qu’il fait chaud, la crème qui permet de faire tenir la tête sur le corps des religieuses, elle ne tient pas et donc, risque de tout déséquilibrer. Et hier, avec un peu plus de 20° à l’ombre, ça m’a surpris d’en voir chez lui. « C’est la journée nationale de la religieuse, aujourd’hui ! » m’a-t-il dit. Ah bon, ai-je pensé. « Mettez m’en une au chocolat » a dit le patron. Et moi d’ajouter : « Mettez-en une au café aussi, tiens, pendant qu’on y est, je vais la manger tout de suite. » « Et à la véritable vanille de Madagascar, vous en voulez une ? » a demandé Greg. « Allez, tenez, je vous l’offre, c’est cadeau… » C’était vraiment gentil. Nous l’avons remercié. « Attention, quand je vous dis que c’est avec de la véritable vanille de Madagascar, ce n’est pas comme chez mon concurrent… »

Comme je ne voyais pas de qui il voulait parler, il m’a chuchoté : « Baillardran » dont j’ai moi-même déjà parlé en mal dans mon billet du 24 janvier dernier (les cannelés du discrédit. » Et de continuer en me disant « en plus, madame et monsieur Baillardran, ils sont en vente. » Tant mieux, me suis-je écrié. Et nous avons continué quelques minutes et nous sommes rentrés chez le patron et j’ai partagé les deux religieuses au café et à la vanille avec le président, après dîner. Un corps au café avec une tête à la vanille et un corps à la vanille et une tête au café. C’était très bon. Vraiment hmmmmmmm. Et même plus : très hmmmmmmm. Totalement hmmmmmmm. En tout cas, ce matin, je me demande s’il ne s’est pas moqué de nous, Greg. La journée nationale de la religieuse même si pourquoi pas.

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lundi 31 mars 2025

exécution provisoire

Marine Le Pen est, pour l’instant, condamnée à quatre ans de prison dont deux ans ferme, aménageables avec un bracelet électronique (elle pourra faire des soirées pyjama avec Nicolas Sarkozy – je plaisante car enfin, on ne parle pas de narcotrafiquants ni des terroristes islamistes, tout de même), à 100 000 euros d’amende et à cinq ans d’inéligibilité avec exécution provisoire. Bref, ce n’est pas rien mais ce n’est qu’une demi-surprise car on s’y attendait un peu, non ? En tout cas, hier soir, dans C à vous, sur France 5, le député RN, Jean-Philippe Tanguy, a bien joué son rôle de roquet et a crié au complot et ce qui me désole, c’est que tous les électeurs de base de Marine Le Pen  vont également le croire alors que parmi eux, combien ont crié au scandale lors de la condamnation de Sarkozy ?

Globalement, c’est quand même deux poids, deux mesures, en France. Particulièrement en France même si j’imagine que c’est la même chose dans d’autres démocraties qui ont oublié qu’elles avaient justement la chance d’en être, des démocraties. Parce que je me souviens avoir entendu Marine Le Pen hurler avec les loups contre Cahuzac et consorts mais quand ça lui tombe dessus, forcément, c’est injuste. C’est inique. C’est un coup d’état. C’est un abus de pouvoir. Les juges sont des vendus. C’était déjà prévu de la condamner même avant le début du procès. Bref, on n’en a pas fini avec cette histoire. Et je crains même qu’on ait des manifestations dans la rue alors que normalement, on ne devrait pas commenter une décision de justice. Ce que tout le monde a fait et fait depuis hier et même avant.

Et même moi, ce matin. Je reconnais que j’en parle et que je ne parle que de ça mais reconnaissez que je ne commence que les réactions que j’ai entendues hier soir mais pas la condamnation en elle-même. Je dis juste que ça suffit d’être systématiquement agressif dès que quelque chose ne convient pas. Dans un bouquin, récemment, j’ai lu une phrase qui m’a bien plu et qui disait, en substance : les politiciens passent leur temps à être contre ce qui est proposé jusqu’à être capables d’en arriver à contester que deux et deux font quatre car ça les arrange. On est exactement dans ça, non ? Et puis, soyons raisonnables, Marine Le Pen est inéligible et alors ? Il en reste, d’autres candidats potentiels au RN. OK, je n’imagine pas du tout Jordan Bardella à la tête du pays mais… Oh ben non, tiens, je ne vois personne d’autre.

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dimanche 30 mars 2025

mardi ou mercredi (ou jeudi, aussi)

lors, départ mardi ou mercredi ? À moins que ça ne soit jeudi, oui, aussi. En réalité, on ne le sait pas nous-mêmes. Et ça n’a pas une importance capitale, en ce lundi matin, à l’heure où je publie ce billet du jour. Ce billet du lundi car il ne sera réellement valable que ce jour car demain, ce billet du lundi, comme nous serons mardi, ça ne sera pas pareil. Il n’aura pas le même effet. Bref, nous devrions partir pour Biscarrosse, tous les cinq : le patron, le président, Kali, Shuka et moi. Le patron, parce que c’est chez lui. Le président, car il vit avec moi. Les chiens, car ils aiment bien aller à Biscarrosse. Et moi, parce que moi, pour y aller, pour y rester et pour en revenir, je ferai office de mari, d’ami, de maître, de bagagiste, de chauffeur et d’intendant (courses et cuisine) et voilà, comme ça, les présentations sont faites.

Oui, je sais, à peine rentrés de Dourdan, départ pour Biscarrosse en vue ? Ma foi, ne boudons pas notre plaisir et profitons-en tant qu’il en est temps car peut-être un jour, ça ne sera plus possible. Peut-être parce que nous ne le pourrons plus. Ou alors Biscarrosse n’existera plus. Ou alors, j’aurai eu un grave accident. Ou alors l’un des autres sera mort. Ou alors, la troisième guerre mondiale aura débuté et elle durera au moins tant que ça. Si ce n’est plus. Ou alors, on aura un nouveau virus qui nous confinera pendant des mois et des mois ou pourquoi pas, des années et des années.  Ou alors, tout ça en même temps. Je sais, ce ne sont pas des pensées très, très gaies mais que voulez-vous, en bon pessimiste qui ne s’ignore pas, je ne vais pas faire semblant que nos lendemains sont prêts à chanter. Voire à danser.

Non, non, nous devrions vraiment partir à Biscarrosse mais pour des raisons dépendantes de la volonté du président, nous n’irons peut-être pas avant jeudi soir. Tant pis. Et comme nous devons y recevoir un couple d’allemands, Peter et Lisa, au moins pour un jour et pour une nuit… Ils veulent voir la mer. Sauf qu’ils ne savent pas, les pauvres, qu’à Biscarrosse, ce n’est pas la mer mais l’océan, ça n’a rien à voir. C’est l’Atlantique, le dernier rempart contre la connerie trumpo-muskienne. Ou musko-trumpienne. Non, je ne peux pas m’en empêcher car rien ne me plaît avec ces deux lapins crétins qui, en vérité, ne sont pas des lapins. Donc, si nous ne partons que mercredi (ou jeudi, aussi), j’ai encore un peu le temps pour préparer ma valise. Et quoiqu’il en soit, comme toujours, demain est un autre jour. Comme aujourd’hui.

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samedi 29 mars 2025

perdre deux fois

Ça s’est passé lundi dernier, la veille de notre départ pour Dourdan, la capitale de l’amitié, en cette presque dernière semaine de mars. Dourdan, ville pour le rapprochement des gens entre Bordeaux et elle-même. Ou entre lui-même ? Dourdan, c’est une ville mâle ou une ville femelle, au fait ? Tiens, c’est une bonne question, ça. Parce que si on prend la ville du Mans, c’est masculin. Si on prend le Soudan, c’est encore masculin. Mais Dourdan ? Tiens, ça pourrait faire un sujet intéressant pour un prochain billet. Mais revenons aux moutons qu’on peut trouver à Dourdan : la veille de notre départ, j’ai fait plein de choses, pour ne pas changer et il m’est arrivé deux fois la même mésaventure, j’ai fait la même « bêtise » deux fois. Quoique, plus qu’une bêtise, c’est plus une étourderie. Oui, mais bon… Ne jetons pas l’eau du bébé…

Je vais faire deux ou trois courses chez Lidl avant d’aller aux putes et une fois les caisses automatiques passées, je me suis installé sur le bout de caisse où il n’y avait personne pour tout ranger dans un ordre qui me semblait juste : les choses lourdes au fond du sac et les plus légères, par-dessus et je suis allé où j’avais rendez-vous. Un peu plus d’une heure après, j’étais de retour chez moi et je voulais acheter de quoi déjeuner, quelque chose de rapide car je ne voulais pas cuisiner. Pas la veille d’un départ à Dourdan. Et au moment de payer, je n’avais plus mon portefeuille. J’ai un peu paniqué mais comme j’avais encore une carte bancaire du patron dans une de mes poches, j’ai pu payer et je suis rentré téléphoner au numéro national de Lidl qui a contacté le magasin où personne n’avait rien trouvé.  

J’ai aussitôt fait opposition à mes deux cartes de paiement et j’ai commencé mes démarches sur Internet pour tous mes papiers. Sauf que j’ai voulu en avoir le cœur net, je suis retourné chez Lidl où on m’a aimablement remis mon portefeuille qui avait bel et bien été trouvé. Revenu au centre-ville, je suis allé chez Mollat où j’ai sorti mon portefeuille pour sortir ma carte de fidélité Mollat et payer avec la carte du patron. Et je suis rentré chez ce dernier pour deux ou trois choses à traiter. Et là, coup de fil de la librairie : « Monsieur Girault ? Vous avez laissé votre portefeuille à la caisse. » Je suis allé le chercher. Et comme je n’aime pas faire les choses en nombre pair, je l’ai rapidement perdu et retrouvé une troisième fois chez moi, dans les toilettes. Voilà, ça, c’est moi. Ça, c’est ma vie. Et non, je n’en suis pas fier.

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vendredi 28 mars 2025

tout augmente

On nous prend vraiment pour des jambons. J’en veux pour preuve nos deux voyages en TGV INOUI, cette semaine. Tiens, ne serait qu’au niveau du café (j’en ai tellement bu, depuis mardi dernier, que j’en suis au bord de l’overdose), mardi dernier, le jour de l’aller, les deux cafés (un normal, serré, pour le président et un allongé pour moi), ça m’a coûté 5.70€ au wagon-bar. Et hier, le jour du retour, ça m’a coûté 5.80€ pour la même chose. Alors, de deux choses l’une, soit il y a eu une inflation de 1.75% sans qu’on en ait été informés, ni le président, ni moi. Bon, le président, d’accord. En effet, ce n’est pas lui qui s’y est collé. Mais moi, on aurait pu me prévenir. Et le patron aussi parce que là, c’est avec sa carte que j’ai payé (voir billet de demain) ((remarquez, je peux déjà vous dire que je n’ai pas abusé, 11.50€ avec sa carte en trois jours et demi, ça va, non ?))

Et s’il n’y avait que cette histoire de café, ça pourrait encore passer mais que nenni, tenez, regardez les numéros de nos sièges : à l’aller, nous étions en voiture 3, places 63 et 64 mais au retour, nous étions en voiture 3, places 71 et 72, soit 12.6% d’augmentation d’un trajet à l’autre. Sans oublier qu’hier, nous étions en haut alors que mardi, nous étions dans un train à un seul niveau, donc, au milieu. OK, au niveau du numéro de wagon, ça n’a pas augmenté mais quand même, 12.6% pour les sièges, il faut vraiment avoir les moyens. Ensuite, continuons sur le temps de circulation, ah non, là, ça a baissé car au retour, nous avons eu 2h16 alors qu’à l’aller, 2h25. Oui mais quand même 4.17% de plus à l’aller par rapport au retour. Inadmissible. Et c’est sans compter que nous avions plus d’agents SNCF hier que mardi. Ils ont été multipliés par trois dans notre wagon.

Poursuivons : si je prends le nombre de coups de téléphone passés mardi et ceux passés vendredi, c’est du simple au double. Et le nombre de SMS et messages WhatsApp envoyés et reçus, idem. Non, ce n’est vraiment pas possible. Et je ne vous dis pas le nombre de fois où j’ai dû me lever pour aller faire pipi, deux fois plus en ce qui me concerne. Je n’ai pas encore reçu toutes les données concernant le président. Enfin, si je prends le gros livre que j’ai en cours et qui me passionne mais que je n’ai pas pris le temps d’ouvrir pendant que j’étais à Dourdan : 133 pages lues mardi et 171, hier. Vous imaginez le taux d’augmentation ? 28.57% en plus. Non, moi, je dis non. Messieurs Mayrou et Bacron, ça ne peut plus durer comme ça. Je pense que je vais en référer à monsieur Donald Musk. Et comme on parle d’aller à Biscarrosse, la semaine prochaine...

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jeudi 27 mars 2025

retour progressif à la normale

Je ne peux pas trop parler de notre chambre au château, ni de notre immense salle de bains ni des petits déjeuners qu’on nous a apportés au lit car, encore une fois, tout doit rester secret, en temps normal, personne ne peut séjourner dans le Château de Dourdan et si monsieur de Carvalho, le maire, nous a fait cette fleur, en réalité, c’est à nos deux amis, M. et P. qu’il voulait spécialement remercier. Nous-mêmes, nous les remercions tous car nous avons rarement vécu une villégiature aussi plaisante. Ça va nous faire tout bizarre de rentrer chez nous, demain. En effet, demain soir, nous serons de nouveau chez nous. Ce sera la soirée Danse avec les Stars, ce sera une ambiance tout à fait différente. Oubliée la vie de château mais en même temps, nous savons très bien où est notre vraie place, alors, tout va bien. Mais nous remercions M. et P. car pendant trois jours, nous étions deux beaux au bois dormant. 

Pour notre retour à la gare, on nous a raccompagnés à Massy avec la même limousine que celle du jour de notre arrivée et nous avons eu droit au Chant du Départ, cette fois, interprété par une chorale de jeunes garçons, tous habillés en bleu lavande. C’était très émouvant quand ils ont tous agité un mouchoir bleu ciel pour nous saluer. Et on nous a offert un bouquet de fleurs séchées. Ça sentait vraiment le départ. J’ai nettement préféré l’arrivée. Bref, dans le train, nous avons de nouveau au droit à des coupes mais cette fois, ce n’était plus du champagne mais du Prosecco. Je m’en suis foutu car j’aime le Prosecco autant que le champagne. Mais c’est un peu comme partout, au début, tout est beau, tout est rose et à la fin, on sent que le niveau baisse. Je ne dis pas ça pour critiquer, vous me connaissez.

Et moi, maintenant, je vais devoir trouver une façon aussi royale de les recevoir quand ils viendront à Bordeaux… J’ai déjà quelques idées en tête, je les ferai venir avec le jet privé de mon meilleur ami. Ils dormiront au… Ils dormiront dans le… Dans la… Non, là, il faut que je prenne mon temps pour chercher l’endroit le plus beau, le plus grandiose et le plus inattendu. Je vais réfléchir et de toute façon, je ne peux pas tout dévoiler à l’avance. Je les recevrai avec des grands crus millésimés. Je leur offrirai une représentation privée dans le Grand Théâtre de Bordeaux et un tour en Montgolfière au-dessus de la Dune du Pilat. Nous irons dîner chez le futur gagnant de Top Chef, celui qui aura le droit d’avoir un restaurant avec une étoile. Et je leur offrirai un livre sur le Château Trompette, l’ancien château fort de Bordeaux.

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mercredi 26 mars 2025

pas en Espagne, le château

Résumé de l’épisode précédent : voir billet d’hier.

« Ils vous attendent à l’intérieur après que vous aurez déposé vos affaires dans la chambre même de Blanche de Castille mais je vous rassure, tout est rénové, ce n’est pas la même ambiance qu’à son époque. » J’avoue avoir été un peu surpris de devoir porter ma valise, avec ma lombalgie chronique car vu tout le protocole auquel nous avons eu droit depuis notre départ de Bordeaux, j’aurais pu imaginer voire apprécier qu’on ait un groom pour nous éviter cette corvée mais on ne va pas commencer à tout critiquer alors qu’on vient à peine d’arriver. « Bonjour vous deux » « Ah, Pasc… » « Chut, nous devons absolument rester anonymes car on nous a fait une fleur en nous prêtant le château à l’occasion de votre venue, ça ne doit pas se savoir. » « D’accord, Myr… » « Ttt, ttt » « Ah oui, c’est vrai. » De sa part à elle, je n’ai pas été étonné qu’elle ait pensé à me faire ce clin d’œil on-ne-peut-plus ironique. 

En effet, lui, son mari, était habillé en Père Noël, mardi, quand ils nous ont accueillis dans le château. Forcément, nous étions le 25. Et ça ne lui a pas échappé, à elle. À celle qui veut rester anonyme mais bon, passons, contre mauvaise fortune, j’ai fait bon cœur car en plus, nous étions logés comme des princes. Pour ne pas dire comme des rois. On nous a même présentés à monsieur Jean-Pierre Colin car ce dernier nous voulait comme invités d’honneur au Salon de Printemps et nous avons même pu rencontrer Anne Smith et Jean Lemonnier. La première est une assez célèbre peintre anglaise spécialisée dans les œuvres représentant des cargos, des ports et des paysages industriels. Le second est un peintre et un sculpteur plus axé sur le monde animalier. J’ai beaucoup aimé Anne Smith, son travail m’a plus enthousiasmé. Je suis globalement très sensible aux œuvres d’art un peu « industrielles. »

Sinon, nous avons été officiellement reçus comme des invités de marque à la Table de Blanche par un chef cuisinier qui s’est mis en quatre pour nous servir le meilleur de ses possibilités. Oh, bien sûr, ce n’est pas la meilleure table du monde mais quand on est reçus comme nous avons été reçus, on ne peut être qu’enthousiastes. J’ai pu manger mes premières asperges pour cette année et si j’ai quelques doutes sur les menus où nous propose plus de la moitié des plats avec un supplément mais bon, comme c’est le patron qui régalait, alors… J’ai aussi pu voir quelques tulipes chez mes amis car nous avons pris un peu de temps pour aller voir leur maison et leur immense jardin. Outre que nous avons été royalement traités, je peux vous dire que j’ai passé un bon moment de détente. C’est la vie de château. C’est ça.

À suivre

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journée de la religieuse

Hier, 1 er avril, je ne me suis pas spécialement méfié de tout ce que j’allais voir ou entendre mais quand même, là, avec un peu de recul e...